Une atmosphère oppressante peut-être liée aux lignes de fuite des différents clichés et au légendage. Le titre de l’album renforce l’idée d’enfermement. C’est réussi mais peu dynamisant.
Cette série n’est pour moi pas terminée et ne reflète que le côté obscur du sujet. Je laisse petit à petit cette réflexion évoluer pour en proposer une version plus complète et moins sombre.
On m’avait renvoyé vers « Black Trilogy » de Ralph Gibson et l’œuvre de Francesca Woodman pour nourrir mon propre travail.
Je me demande notamment si je dois introduire ponctuellement une présence humaine, ténue, dans cette série.
Je me demande aussi si je ne dois pas enrichir le contenu en ne me focalisant pas que sur le cheminement.
Une atmosphère oppressante peut-être liée aux lignes de fuite des différents clichés et au légendage. Le titre de l’album renforce l’idée d’enfermement. C’est réussi mais peu dynamisant.
Cette série n’est pour moi pas terminée et ne reflète que le côté obscur du sujet. Je laisse petit à petit cette réflexion évoluer pour en proposer une version plus complète et moins sombre.
On m’avait renvoyé vers « Black Trilogy » de Ralph Gibson et l’œuvre de Francesca Woodman pour nourrir mon propre travail.
Je me demande notamment si je dois introduire ponctuellement une présence humaine, ténue, dans cette série.
Je me demande aussi si je ne dois pas enrichir le contenu en ne me focalisant pas que sur le cheminement.
Il reste encore beaucoup à faire…